Mettre le kim, c'est le début d'un changement d'état. On coupe avec les soucis, on se prépare au combat sur le tatami. On se libère le temps d'un entraînement. On est tellement bien. Et si cet état se prolongeait dans la vie de tous les jours ?
C'est, peut-être, ce que souhaite proposer Keiko-Gi. Keikogi signifie vêtement d'entraînement. Le judogi (kimono de judo) est donc le Keikogi du judo. Keiko-Gi est une toute nouvelle marque mêlant mode et esprit martial proposant des vêtements pour la vie de tous les jours.
Je me suis rendu pour vous à la soirée de lancement. Si je n'ai pas vraiment testé les vêtements, j'ai pu vous rapporter quelques images pour vous faire une première idée. (Si vous avez déjà un vêtement de la marque mettez un commentaire pour me dire ce que vous en pensez.)
On est loin des habituels T-shirt "Je peux pas, j'ai judo" ou autre "Si tu touches à ma fille, je te donne ta première leçon de judo". L'objectif de la jeune marque est de faire de la qualité, du sérieux et du classe. Dites moi en commentaire si cette proposition vous intéresse et si vous souhaitez en savoir plus.
La marque est cofondée par Joseph Bridge, professeur de judo, fils de Jane Bridge (multi-médaillés Britannique et actuellement 8eme dan) et également en charge de plusieurs projets entrepreneuriaux dont le développement de Fighting Films en Europe.
Sabine Dreher complète la culture martial de Joseph par ses compétences de styliste mode. Sabine a débuté chez Balenciaga et aujourd'hui, elle travaille chez Hipanema en parallèle du projet Keiko-Gi.
Les modèles de la toute première collection portent les noms du code moral du judo pour ancrer encore un peu plus celle-ci dans la culture judo. Si vous souhaitez soutenir le projet, deux actions possibles : commander sur Keiko-Gi et/ou partager le lien vers cet article.
Encore un beau projet de judoka. Longue vie à Keiko- Gi.
